Le logiciel Pegasus continue d’être utilisé au Maroc.

L’ONG Amnesty international a affirmé, lundi 18 juillet, que le logiciel espion Pegasus continuait d’être utilisé dans certains pays, notamment au Maroc, une année après l’éclatement de l’affaire, en raison notamment de l’absence d' »un moratoire mondial » sur la vente de ce type d’équipement.
« Un an après les révélations concernant le Projet Pegasus, l’absence de moratoire mondial sur la vente de logiciels espions permet au secteur de la surveillance de poursuivre ses activités de façon incontrôlée », a déclaré Amnesty International dans un communiqué publié sur son site.
Au cours de l’année écoulée, « le Security Lab (d’Amnesty international) a découvert de nouveaux cas de personnes ciblées au moyen de Pegasus au Maroc (…) ». De plus, le Security Lab a confirmé « de façon indépendante de nombreux cas supplémentaires où Pegasus continuait d’être utilisé pour cibler de façon illégale des personnes » au Maroc et en Espagne, ou même par l’entité sioniste.
Tous les mois, de nouveaux cas de personnes ciblées au moyen de Pegasus sont confirmés. Amnesty international a interviewé plusieurs personnes qui avaient été infectées par Pegasus et qui ont dit avoir beaucoup souffert de ce ciblage, dont Hicham Mansouri, un journaliste marocain qui vit en France. Ce dernier dit que le fait d’être ciblé est « une forme très violente de censure, parce qu’on s’empêche de s’exprimer sur de nombreux sujets sur le plan tant professionnel que personnel ».
APS.
Le port d’Alger a accueilli, ce dimanche 20 avril 2025, un détachement de la flotte russe de la mer Noire, dans le cadre d’une escale ...
Le Général d’Armée Saïd Chanegriha, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale et chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a reçu ce ...
L’Algérie participe officiellement pour la première fois à l’exercice militaire African Lion. Organisé chaque année par le Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM), cet exercice ...