Des produits souvent déclassés parce qu’ils sont moins demandés durant le mois sacré, comme c’est le cas du chou-fleur ou des fèves. Des produits agricoles qui connaissent parfois une surproduction et qui ne trouvent pas preneurs. « Si les oignons sont cédés à des prix exorbitants cette année, durant l’années écoulée, certaines quantités ont été jetées en raison d’une forte production qui a dépassé la demande », déclare l’ingénieur et expert agricole, Dr Ahmed Malha.
Source: Le Quotidien d’Oran.
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