La ministre qui a installé mercredi un groupe de travail, comprenant des experts et des professionnels, pour concrétiser une industrie cinématographique rentable, a insisté sur le continuité des mécanismes de soutien et a rassuré les producteurs quant à l’existence d’une « volonté politique pour réviser les textes juridiques et les adapter » à l’évolution du paysage du septième art.
Malika Bendouda a également annoncé, selon le communiqué, des dispositions communes avec des départements ministériels comme celui de l’Intérieur et les collectivités locales, la Communication, le Commerce ou encore la Formation Professionnelle pour dynamiser la production, la distribution et l’exploitation cinématographique.
aps