Le professeur Reda Djidjik, a averti, qu’ il y a certes une décrue des contaminations mais nous ne sommes pas encore à l’abri d’un rebond ou d’un autre sous-variant.
Le professeur Djidjik estime : «Nous savons que les sous-variants sont plus contagieux mais peu virulents mais nous ne sommes pas à l’abri d’un sous-variant qui peut être plus virulent», selon lui, il existe une hypothèse qui dit qu’avec l’Omicron et ses sous-variants on arrivera à une immunité dans quelques semaines et probablement même à la fin de la pandémie et l’arrêt de la transmission. «J’espère que cette hypothèse se révélera juste et qu’il n’y aura pas d’autres surprises», déclare cet immunologue. Selon cet expert, «nous sommes en train de faire une immunité naturelle post-infection, mais, j’espère qu’elle sera totale et permettra d’arrêter la transmission du virus».
La vaccination reste nécessaire et toujours d’actualité, affirme le professeur Djidjik.D’ailleurs la troisième dose rehausse l’immunité pour se défendre contre le nouveau variant Omicron. Le problème, alerte-t-il, nous ne savons pas comment vont réagir et agir ces nouveaux variants dans une population non vaccinée comme la nôtre. C’est pour cela qu’il faut rester très prudent.
Réveil D’Algérie.
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