Les Jeux olympiques d’hiver s’ouvrent officiellement ce vendredi à Pékin, sans les officiels américains, mais avec la présence notable d’autocrates amis de la Chine.
Les discussions précédant l’ouverture de Jeux olympiques tournent généralement autour des chances de médailles des très nombreuses délégations engagées. Celles concernant les JO d’hiver de Pékin, qui débutent officiellement vendredi, sont parties sur des bases bien différentes. Entre la crise sanitaire du Covid-19, obligeant les autorités locales à des contrôles drastiques des athlètes, les très fortes tensions géopolitiques actuelles (Etats-Unis – Chine, Inde-Chine, conflit Russie-Ukraine), et les scandales intérieurs (traitement des Ouïghours, affaire Peng Shuai…), le volet sportif est plus que jamais relégué au second plan.
La cérémonie d’ouverture de ce vendredi devrait renforcer cette impression. L’absence notable des Etats-Unis, qui a choisi de boycotter diplomatiquement l’évènement, occupera l’attention de nombreux observateurs (et c’est même l’objectif affiché). Le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie ou encore le Japon n’enverront aucun officiel non plus. La France, malgré des appels à suivre le mouvement jusqu’à la dernière minute, y fera apparaître la ministre des Sports Roxana Maracineanu. Rien de comparable à la cérémonie des Jeux olympiques d’été de 2008 – certes souvent jugés plus prestigieux – à Pékin, lors desquels se côtoyaient Nicolas Sarkozy, pour la France, et l’ex-président américain.
AFP.
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