Intitulé de la thèse: Archéologie et éducation au patrimoine culturel : le sacré et le profane dans un chantier de fouilles archéologiques. Entretiens avec quatre bénévoles.
Dans cette étude, l’auteur propose une autre voie d’éducation au patrimoine culturel, celle qui s’effectue à travers les fouilles archéologiques pour bénévoles (espace sacré et espace profane). Il explore d’abord le contexte dans lequel elle se réalise. Ensuite, il s’intéresse aux éléments théoriques conceptuels relatifs aux « apprentissages expérientiels » et au « sacré/profane ». En s’appuyant sur l’analyse de contenu de quatre entretiens semi-directifs, l’auteur tente dans un premier temps, d’identifier les apprentissages techniques (prospections, techniques de fouilles…) et socio-culturels (valeurs universelles) qu’acquièrent les bénévoles de l’archéologie dans l’expérience des fouilles. Dans un deuxième temps, il s’attelle à montrer que la confrontation au sacré et au profane induit chez les bénévoles, un changement, une « trans-formation » et une évolution vers l’universel des représentations. Enfin, il s’attache à révéler l’impact des apprentissages en évoquant l’implication des fouilleurs dans la protection et la sauvegarde du patrimoine culturel. Cette étude souligne donc que l’éducation au patrimoine culturel à travers l’expérience des fouilles archéologiques passe à la fois par la confrontation au sacré et profane et par le retour réflexif sur l’expérience personnelle de ces bénévoles.
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