Les niveaux de la dépense fiscale qui « ont atteint plus de 1.500 milliards de DA en 2018 et 2019 seulement, soit près de 10 Mds USD ».
La dépense fiscale qui coûte à l’Etat des montants colossaux annuellement doit être compensée par la création de la richesse et des emplois, a souligné le Premier ministre et ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane qui a fustigé le faible rendement de cette dépense ces dernières années.
Supervisant la clôture des travaux de la Conférence nationale sur la relance industrielle au Centre international de conférence (CIC), le Premier ministre a fait remarquer que le « rendement économique et social de la dépense fiscale devrait être un critère pour mesurer l’efficience et l’efficacité. La création de la richesse et des postes d’emploi doit être à la hauteur des avantages et exonérations fiscales consentis par l’Etat ».
M. Benabderrahmane a cité à titre d’exemple les niveaux de la dépense fiscale qui « ont atteint plus de 1.500 milliards de DA en 2018 et 2019 seulement, soit près de 10 Mds USD ».
Cette dépense (avantages et différentes exonérations fiscales) a concerné les projets inscrits dans le cadre de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), les dispositifs de soutien à la création des activités, ainsi que les exonérations des taxes douanières.
MH
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