l’écrivain et historien Mustapha Hadj Ali, qui a déjà à son actif trois livres, tous relevant de l’histoire, vient de rebondir avec Prisons et camps de concentration de la guerre d’Algérie: 1955-1962, livre qui vient de paraître chez les Éditions, El Amel de Tizi Ouzou.
Ce livre raconte la peine de l’internement administratif fut créée en 1841 par arrêté du maréchal Soult, ministre de la Guerre et qui stipule ceci: seront traités comme prisonniers de guerre, et transférés dans un des châteaux ou forteresses de l’intérieur pour y être détenus les Arabes appartenant aux tribus insoumises de l’Algérie qui seront saisis en état d’hostilité contre la France. Depuis, les Algériens révoltés individuels ou collectifs étaient condamnés à l’internement dans d’anciennes casernes militaires devenues centres d’internement pour prisonniers algériens, sur simple décision du gouverneur général de la colonie», explique l’écrivain et historien.
Pour rappel, Mustapha Hadj Ali avait déjà édité Les bagnards algériens de Cayenne, en 2018, Les Algériens en Nouvelle- Calédonie- l’insurrection de 1871, en 2019 et Des révoltes populaires aux déportations, en 2020.
Son quatrième livre, Prisons et camps de concentration de la guerre d’Algérie: 1955 – 1962, se veut être un enchaînement par rapport aux autres. C’est du moins ce que Mustapha Hadj Ali souhaite.
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