L’échec de contenir la flambée des prix durant le mois du Ramadhan est acté, même si les pouvoirs publics affirment avoir contenu l’augmentation de certain produit de base. La même attitude est enregistrée pour ce qui concerne la fermeture des échoppes, durant les deux jours d’Aïd, en tout état de cause, puisque le premier jour, la plupart des commerces était clos mais la situation ne s’est améliorée qu’au second jour. Les leçons commerciales à tirer de cette situation, sont que notre système commercial et de distribution sont complètement à revoir. Une politique à court, moyen et long terme est à mettre en œuvre de toute urgence afin de ne plus assister à ce spectacle le prochain… Ramadhan !
La nomination d’un ministre chargé des exportations et la tenue d’un Conseil des ministres consacré aux exportations, montrent l’intérêt des autorités économiques à ce secteur ...
La Banque d’Algérie a promulgueé, dans le Journal officiel n°77, le Règlement n° 24-05 du 13 octobre 2024, une nouvelle modification des sommes en devises que ...
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...