Avec un talent de comédien inné, une gestuelle et un vocabulaire typiques, et une présence des plus notable dans le cinéma algérien, Rouiched, l’enfant terrible de Casbah aura lui aussi, comme de nombreux autres comédiens, gravé son nom en lettres d’or dans la culture algérienne et la mémoire collective. Ses œuvres au cinéma et parfois au théâtre sont encore revues avec grand plaisir du public algérien qui a adopté ce monument de la comédie qui a su, par sa spontanéité et sa proximité du vécu de tous, se faire une place de choix dans les cœurs des téléspectateurs et des professionnels et devenir un des artisans de l’âge d’or du cinéma algérien. Né un 20 avril 1921 à la Casbah d’Alger, cette citadelle qui a enfanté de grands noms du cinéma et du théâtre comme Yahia Benmabrouk, Mohamed Zinet ou encore Mahieddine Bachtarzi, Rouiched, Ahmed Ayad de son vrai nom, artiste autodidacte avait fait ses débuts à la fin des années 1930 sur les planches de la salle Atlas avec une production de El Mahboub Stambouli.
Source: Horizons.
Dans sa 27e édition qui aura lieu du 6 au 16 novembre prochain, le Salon international du livre d’Alger (SILA-2024) commémorera le 70e anniversaire de ...
Constantine deviendra, du 23 au 26 octobre prochain, le cœur battant du cinéma algérien avec le lancement des « Journées Cirta du court-métrage », organisées ...
Les candidatures pour la cinquième édition du Prix du président de la République de la littérature et la langue amazighes sont ouvertes jusqu’au 10 décembre ...