Un itinéraire presque fantastique qui le jettera sur les routes du monde entre juillet 1969, année du premier voyage lunaire qu’on croit être un symbole pour ce qu’il allait devenir plus tard, et novembre 1972, même si son récit court de manière parcellaire à travers les quelques souvenirs qu’il égrène, jusqu’en 1975.
Son histoire, qui est celle de toute une génération qui voulait le monde à portée de main, est celle d’une décade prodigieuse – la fin des années 1960 et le milieu des années 1970- où les voyages étaient presque sans visa à condition d’obtenir le sésame, l’autorisation de sortie du territoire national (ASTN) que Boumediène avait instaurée à l’époque après le coup d’Etat de juin 1965.
Les pays qu’il a visités avec comme seul bagage un sac-à-dos seront son terrain d’apprentissage de la vie. «Je rentre chez moi serein, l’expérience unique, acquise durant mon merveilleux voyage», écrit-il à la fin de son récit. En reprenant cette phrase d’Antoine de Saint-Exupéry : «Faire que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas vôtre rêve».
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